Variation collective sur « La Pie » de Monet par les collégiens de l’ULIS :
-Comment imiter la peinture de la neige, du blanc, de la lumière? Avec de la ouate. -Comment jouer sur la construction du tableau en accentuant la touche de noir apportée par l’ajout de la pie? Monet a ajouté une pie sur la barrière et a reporté son ombre. Nous avons souligné les lignes de construction du tableau en ajoutant une famille de pies. Merci beaucoup à notre super guide conférencière du Musée d'Orsay qui nous a fait remarquer que la pie jouait un rôle important dans le contraste et la composition ! Nous avons aussi individuellement copié les peintres impressionnistes (Monet, Manet) et nous nous sommes inspirés des pointillistes (Seurat) pour représenter notre collège en utilisant cette technique de décomposition de la lumière à l'aide d'un prisme. Conclusion : lors du débat de fin de projet artistique et culturel, nous avons constaté que le ciel n’est pas peint en bleu chez les peintres, ni l’eau. Alors, on s’est demandé si ce n’est pas cela qui distingue le regard du peintre de celui des personnes dites « ordinaires »... Que voit chacun d’entre nous lorsque nous croyons regarder la même chose?
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Grâce à la MGI (Maison du Geste et de l'Image), cette année, en collaboration avec d'autres collégiens de Paris, nous avons créé un film en stop-motion : il s'agit d'une technique d'animation avec des objets réels et en volume, comme dans "Wallace et Gromit" ou dans "L'étrange Noël de Monsieur Jack".
A travers le décryptage d'une série de courts-métrages du festival MGI de mars 2021, Laurent Gélinier nous a permis d'étudier le potentiel de cette technique avant de nous lancer. Techniquement, nous avons pris des photos successives des tableaux que nous avons mis en scène pour créer une continuité et faire passer notre message : "il faut voter pour faire vivre la démocratie!". Charlotte a réalisé le montage de nos images en associant les productions des élèves des autres collèges. La Démocratie vient de l'étymologie grecque : "le pouvoir du peuple". Elle est symbolisée par l'urne qui accueille les bulletins de votes. C'est pourquoi nous avons fait un film de propagande : la propagande est une technique de persuasion qui utilise des supports écrits, vidéos, sonores ou imagés pour convaincre les personnes d'adopter un comportement. Chaque acteur de notre film porte, soit le masque d'un personnage qui a contribué à faire représenter tous les citoyens au sein de la démocratie, soit la marque anonyme de la censure et de la dictature qui opprime le peuple. Comme symbole de l'autoritarisme, nous avons choisi une truelle qui sert à construire un mur d'oppression et qui illustre ce qu'est la censure. Le changement du décor accompagne notre voyage dans le temps depuis l'Antiquité de Périclès jusqu'à nos jours et même au-delà... Nous avons dû garder le masque anti-covid lors du tournage et, finalement, cela rend notre séquence encore plus forte : on est muselés. La fin de notre film très métaphorique est une dystopie. La dystopie est une fiction qui dépeint un monde où le citoyen ne peut pas échapper au contrôle des dirigeants, où chacun surveille ses pairs, où chacun se doit de rester conforme et ne penser que comme un robot ou une machine. Ici, nous avons aussi évoqué nos craintes au sujet de la réalité augmentée, de l'intelligence artificielle et du règne de la science au détriment de la nature. En amont, nous avions étudié le film "Bienvenue à Gattaca" (où il est question de manipuler l'ADN avant la naissance) et rédigé des nouvelles sur notre vie dans 20 ou 30 ans. Dans un studio, sur une scène avec un décor, un éclairage spécial, nous avons été les acteurs d'un jour en suivant les indications de notre réalisatrice Charlotte! Un immense merci à la MGI, qui nous a offert de participer à ce projet inclusif avec d'autres collégiens parisiens, malgré les difficultés liées à la crise sanitaire. On a passé une journée merveilleuse et nous sommes fiers d'avoir pu exprimer nos connaissances. Germinal 2020, une rédaction à la Emile Zola sur le dernier printemps de l'Humanité! (4ème ULIS)12/10/2019 https://www.calameo.com/accounts/5327082
www.calameo.com/accounts/5327082 ULIS Claude Bernard Hackathon du 25 mai 2019 sur l’éducation inclusive ★ 1 JOUR DE PARTAGE POUR DÉCOUVRIR L’ECOLE INCLUSIVE! Startup For Kids nous a invités à participer à sa toute première déclinaison "Startup For Kids - Chacun ses superpouvoirs" organisée en partenariat avec la Direction du Numérique du Ministère de l'Education Nationale le 25 mars 2019 à 42 l'école de programmation, Paris 17ème. LES OBJECTIFS DE CETTE JOURNEE:
Cette journée centrée sur l’éducation, l’apprentissage et l’innovation a permis à 22 jeunes à besoins éducatifs particuliers et à 10 élèves dits « ordinaires » de réfléchir sur l’éducation inclusive. Pour cela, une sympathique équipe d’animateurs et un grand renfort de facilitateurs venus d’horizons divers (association, entreprises, fonction publique, parents, AVS) ont guidé les élèves selon la méthode du design thinking. LES DÉCOUVERTES ONT SUIVI CE MODELE:
Interview Adel (6ème ULIS) C'était bien. J'ai appris beaucoup de choses pendant cette journée. On a bien joué aussi. On était avec nos amis de l'ULIS et Rayan et Yann. Rayan est un ami : il est nouveau dans notre collège. Il est en sixième 3 avec moi. Yann était au collège à Claude Bernard : il a dit que quand il était en sixième, il faisait des bêtises, jusqu'en 3ème, et il s'est mis à travailler trop tard pour pouvoir passer le brevet. Du coup, il a des regrets parce qu'il aurait pu avoir le brevet s'il avait travaillé. Il aurait voulu être footballeur. Il a choisi le métier de mécanicien car il a fait des stages en aéronautique et chez Nissan. Il a obtenu un examen le CFG et veut avoir le CAP. Yann connaît mon ancien coach de football. Yann est un jeune homme très gentil et drôle. Au début, je ne connaissais que Rayan. J'ai rencontré deux dames et un monsieur. Le challenge Marshmallow: On nous a donné de la ficelle, des spaghettis, du scotch. Le but était de construire un module le plus haut possible en mettant un mashmallow au sommet. On a bien ri : on a été très sérieux mais cela n'a pas tenu aussi haut que l'on croyait. On a fait seulement 12 centimètres alors qu'on voulait faire 40 centimètres. Les questions: Au sujet de l'école, j'ai dit que pour se concentrer, ce serait mieux si on pouvait par exemple, entrer dans le film de l'Odyssée au lieu d'écouter l'histoire. Mais, il faudrait répéter plusieurs fois l'expérience car ce n'est pas, dès la première fois, que l'on peut s'intéresser à une histoire. La journée commençait à être fatigante et j'avais faim! Je n'arrivais pas à me concentrer! La pause: On a joué au baby-foot et au ping-pong. J'ai battu tout le monde! On a fait des équipes, avec Younès, avec Romain, Pierre-Christ, Yann, Abdel-Amine, Hector, Rayan, … On a passé un bon moment entre amis avec un vrai baby-foot. On a pu voir des amis qui habitent loin et là, on les a vus en dehors de l'école. Le témoignage: J'aurais voulu dire plus de choses mais j'ai « la honte ». J'avais du mal à parler avec le micro car j'entendais ma voix. J'ai quand même parlé : j'ai dit que j'avais 12 ans et je rencontre des problèmes à l'école comme le manque de concentration. Plus tard, je voudrais être footballeur professionnel. Mon entraîneur, ce serait Ronaldo. J’aimerais bien être entraîneur aussi. J'aurais voulu dire que je suis autonome dans les transports en commun, je mange à la cantine avec mes amis de l'ULIS. J'ai plein d'amis en classe ordinaire : on joue au foot à la récréation. En classe d'inclusion, je ne me sens pas toujours à l'aise car on est trop et je n'arrive pas à me concentrer. Je m'occupe de tout ce qui se passe autour de moi. J'aime le foot : J'adore Zidane et Ronaldihno. Invention : Nous avons inventé le casque de réalité virtuelle. Il permet d'améliorer la concentration des personnes en difficulté grâce à l'intelligence artificielle. Notre projet s'inscrit dans trois objectifs de développement durable: -éducation de qualité, -égalité des sexes, -réduction des inégalités. Il permet de plonger en immersion dans les cours de sciences, d'histoire, de français, de maths, … Il sert à rendre les cours plus réels pour mieux comprendre. La particularité : l'écran est incurvé de manière à faciliter l'immersion dans les cours. Conclusion : je remercie mon groupe et ceux qui ont organisé. Les animateurs étaient très gentils. Interview Abdel-Amine (6ème ULIS) C'était une belle journée! Faire connaissance et faire équipe: Mashmallow challenge! J'étais dans un groupe avec Esther, une lycéenne ULIS, et Malo, un camarade ordinaire de sixième. Il y avait deux adultes, Mme Dupuis, AVS, et ma mère. On devait faire une tour en spaghetti avec un mashmallow en hauteur. On a failli réussir mais tout s'est écroulé quand on a voulu mettre le marshmallow. Ensuite, on a tous réfléchi sur l'intégration. Esther commençait à être fatiguée. J'ai pu répondre aux questions grâce à ma mère et à Mme Dupuis. On a cherché des idées pour aider les élèves handicapés moteurs comme un ascenseur. On a parlé d'un robot qui accompagne les élèves partout. Il y avait un baby-foot électronique qui mesurait la vitesse de la balle. J'avais préparé mon pique-nique et je me suis régalé. C'était le meilleur moment car tout le monde était là. Tout le monde était de bonne humeur et jouait tous ensemble. Témoignage J'ai 12 ans. J'ai des difficultés de concentration et des confusions de sons. J'aime la cuisine et le foot. Je fais surtout de gâteaux. J'aime le foot, surtout dribbler. Mon joueur préféré est Ronaldo. Je suis en ULIS Collège avec les mêmes élèves qu'en primaire, loin de mon domicile. J'ai besoin d'un taxi. J'aimerais bien être autonome dans les transports et venir au collège sans taxi. J'aime les voitures. C'est important d'être débrouillard dans la vie. Quand je serai adulte, je ne sais pas ce que je ferai, mais j'aimerais être footballeur et avoir une Lamborghini. Produire un outil inclusif : création du robot On a créé un robot et nous avons été primé projet le plus "immersif". Le robot aide les gens à travailler, il corrige, il fait rire les gens qui sont de mauvaise humeur. Il aide à l'apprentissage. Il ne bugge pas. Sympathique, poli et très intelligent, il permet d'avoir les félicitations, les compliments et les encouragements au Conseil de classe. Mon avis:C'était une belle journée très fatiguante! Je remercie Florian, notre animateur et Romane l'organisatrice de la journée. Interview Younès (6ème ULIS) C'était une belle journée. Il y a avait du monde, jeunes et adultes tous sympathiques. Le défi Marshmallow Il y a avait 5 spaghettis et on devait faire la tour la plus grande possible avec seulement du scotch, une ficelle. On a réussi à monter à 49 centimètres. On a réussi à ne pas faire tomber le marshmallow car on a mis du scotch pour coincer les spaghettis. On a fait une forme de pyramide. C'était très amusant et c'était cool. J'étais avec Madame Lebas, ma professeure de Français d'inclusion, Eléa, une camarade de ma classe de sixième 2 et deux dames. On a formé une belle équipe car on s'est bien entendu. Les questions: On a parlé de l'école. Par exemple, on a cherché de quoi on a besoin, on a fait la liste du matériel qu'on a d'habitude d'avoir dans la classe : stylo, trousse, cahier, et tout ça... On a dit quelle est notre matière préférée. Moi, c'est le Français et le Sport. On a eu, dès ce moment-là, une idée d'un stylo qui ferait tout, parler, enregistrer. On peut alors lire et apprendre et tout faire juste avec lui. Si on cherche un mot, on peut lui dire, il trouve tout seul. Il peut faire les devoirs tout seul. La pause: C'était bien. On a joué au baby-foot et au ping-pong. J'avais acheté mon pique-nique à Carrefour en avance et je l'ai mangé dans la salle, avec tous mes amis, avec Yann, un lycéen ULIS, qui est très sympathique. Témoignage: Je n'ai pas témoigné parce que je n'aime pas parlé devant tout le monde. Si j'étais passé, j'aurais dit que je n'arrive pas trop à lire, à écrire mais c'est tout. C'est pour cela que je suis en ULIS. Au début, je ne voulais pas être en ULIS mais j'ai compris que c'était bien car on fait plein de choses, on m'aide à lire et à écrire. Je suis bien avec mes copains d'ULIS car on a les mêmes difficultés et on s'aide. Yann a témoigné et cela m'a intéressé. Il a dit qu'il faisait des bêtises et qu'il avait des mauvaises fréquentations et il ne travaillait pas en 6ème, en 5ème, en 4ème. Il a dit qu'il s'est rendu compte qu'il fallait travailler en 3ème. Mais c'était trop tard et il n'a pas pu passer le brevet. Il a quand même eu le CFG. Les témoignages m'ont tous plu. Certains m'ont fait rire. La fabrication du inclustyle: J'ai trouvé l'idée du stylo qui écrit tout seul pour aider plein de gens à lire et écrire. Je pense que plein d'élèves, et même des papas, des mamans, des vieilles personnes en auraient besoin. Le stylo est connecté à l'ordinateur. Il est pratique. Notre présentation du inclustyle : C'est un stylo connecté pour lire et écrire. C'est pour tout le monde : l'inclustyle. Il a différentes fonctionnalités. Il est relié à un ordinateur. Un logiciel installé permet lecture, écriture, définition, voix, vidéo, caméra, haut-parleur, enregistreur de voix,…Si faute d'orthographe, le stylo prévient et on peut réécouter les leçons enregistrées. Ce stylo donne les définitions quand on appuie sur le bouton « définition ». Il permet de traduire en braille ou lsf pour les élèves sourds, aveugles mal voyants, malentendants. Il agrandit le texte. On glisse le stylo sur le texte et il lit en prononçant bien, ça peut aider les élèves qui viennent d'arriver en France. Le logiciel s'adapte au niveau de l'élève, de sa compréhension. Il peut écrire ce que dit le professeur. Il peut écrire sous la dictée de l'élève. Il écrit sur l'écran, on peut envoyer par mail ou imprimer Conclusion : J'ai aimé manipuler pour fabriquer. On s'est amusé, on a ri. On a travaillé en équipe. On a appris à être d'accord avec les autres pour faire quelque chose. On a dû trier les idées. On avait plein d'idées. On a voté. Interview Morgane Bréhinier Gagneau (4ème ULIS) Produire un outil inclusif : création du robot Ediator « Nous sommes l’équipe du Futur, aujourd’hui nous aimerions vous présenter notre robot Ediator, on le nomme « le robot souple » car on peut l’enfiler comme une combinaison. Le bouton du dessous sert à se protéger contre les méchants. Il y a une pile qui alimente les muscles nanotechs. Dans ce prototype d’exosquelette, il y a des lunettes à réalité virtuelle pour que les personnes en situation de handicap visuel (malvoyance) puissent s’en servir aussi. Nous avons conçu ce projet pour les personnes qui ont un handicap moteur ou qui sont paralysées : les gens qui malheureusement souffrent d’immobilité, par exemple si une personne est assise sur une table et qu’elle veut manger, le robot va lui apporter le plateau. Il l’enfile et grâce à ses mains en plastique, il peut prendre le plateau. Il relie les nerfs et les neurones pour ensuite manier le robot facilement. » Faire connaissance et faire équipe : Marshmallow challenge J’étais dans un groupe avec Tiago, collégien en 4e3 à Claude Bernard, Amina, lycéenne à Marcel Desprez en CAP Electricité, Mohammed, collégien à Claude Bernard en 6e2, et deux adultes facilitateurs Mme Elatri AVS et un monsieur. On a mis les spaghettis en forme de tipi et on a mis le chamallow en haut des spaghettis. C’était stressant. C’est Mohammed qui a trouvé les idées pour assembler les spaghettis et c’est lui aussi qui les a mis ensemble, et nous l’avons regardé faire… Mais les facilitateurs ont voulu que Amina, Tiago et moi nous nous impliquions aussi, alors j’ai découpé la ficelle qui a servi à attacher les spaghettis ensemble. Témoignage : J’ai 15 ans. J’aime beaucoup les maths. J’ai effectué un stage dans une agence de publicité. Cette année, je suis en 4e, c’est un peu difficile, surtout en français car il y a beaucoup de textes à lire. Plus tard, je rêve de devenir pâtissière ou coiffeuse. J’aimerais aller en Espagne pour parler espagnol. Avec Tiago, nous sommes dans la même classe. Mon ami Tiago témoigne à son tour : « Ce n’est pas facile pour les ULIS de s’intégrer car les autres élèves ne s’approchent pas d’eux, ils n’ont pas les mêmes centres d’intérêt. Il faudrait davantage aller vers eux pour les inclure, leur demander ce qu’ils pensent… » Mon avis : C’était une superbe journée. Construire le robot m’a particulièrement amusée, c’est moi qui ai collé les boutons sur son ventre de robot ! Je suis fière du résultat de notre équipe du Futur. Interview Pierre-Christ (6ème ULIS) Le voyage en métro : D'abord, on a pris la ligne 9 jusqu'à Miromesnil. Puis la ligne 13 jusqu'à Porte de Clichy. C'est une ligne avec un embranchement (La fourche). Pour la première activité, il fallait faire monter un mashmallow avec des spaghettis secs. J'étais avec Dylan, un lycéen ULIS, sa maman, Mariya (une élève de ma classe d'inclusion), Daryll (une élève de ma classe d'inclusion) et un monsieur. Je n'ai pas réussi à donner mes idées car ils ont commencé à faire d'une façon et c'était trop tard pour mon idée. Je sais pourquoi le mashmallow est tombé : parce qu'il est trop lourd pour seulement 3 pieds en spaghetti. Il aurait fallu en mettre 4 ou 5. J'ai vu que c'était mieux de travailler en équipe que travailler tout seul. Si on travaille seul, on ne peut pas connaître les idées des autres coéquipiers. On nous a posé des questions sur l'école. On m'a demandé ce que j'aimais dans ma scolarité. J'ai écrit que j'aime bien l'école pour apprendre plein de choses. A ce moment-là, j'étais fatigué et j'avais faim. C'était un peu stressant et j'avais un peu mal au ventre. La pause On a mangé. Ma maman m'avait préparé un très bon pique-nique. On a joué au baby-foot et au ping-pong. C'était un moment inoubliable parce que cela faisait très longtemps que je n'avais pas joué à ces jeux avec des copains. Témoignage Je n'ai pas eu envie de témoigner devant tout le monde parce que je trouve cela stressant. Construction, maquette : On a construit une super tablette. Elle doit changer le futur, autant que les voitures électriques. J'ai été rapporteur de choses : j'apportais du carton, de la colle, des cubes, des dés, du fil,... J'ai surtout collé les éléments. Je me suis bien amusé. Après, il y a eu le goûter. J'ai bien aimé le cookie. Très bon! L'exposé: La tablette avec reconnaissance vocale aide l'élève à noter. Elle est configurée selon les troubles dys. Il y a un micro, ce qui permet de noter sur l'écran, même dans une autre langue en traduction pour les élèves qui arrivent en France. Il y a plusieurs sélections de troubles différents : dyslexie, dysorthographie, autre... On peut facilement adapter le volume. Le clavier est coloré pour faciliter. L'écran avec "vibes" pour le braille permet aux aveugles de le lire. Il y a des options comme le lien avec internet. On voit l'heure pour savoir quand le cours termine. Conclusion: J'ai appris qu'on est meilleur en équipe que tout seul. Merci! Le mardi 14 novembre, Sarah de l'association ARPEJEH nous a offert la possibilité de visiter la Bananeraie. Il s'agit des locaux de l'entreprise Michel et Augustin que nous connaissons tous, pour avoir déguster, avec délice, ses cookies et bu ses Vaches onctueuses ! Le maître mot de cette entreprise, c'est la créativité et la valeur, celle d'une amitié, jamais démentie! Nous remercions chaleureusement notre sympathique hôte qui nous a fait connaître les créateurs de la marque, et qui nous a dévoilé les secrets de son parcours et de ce qui l'avait guidé dans sa vie professionnelle. |
AuthorC.Valette, enseignante spécialisée. Categories
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